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sammael world
31 décembre 2006

druuna

d3

je vais citer un petit texte de Paolo Eleuteri Serpieri, qui se trouve dans un de ses recueil de dessins et qui resume assez bien sa facon de concevoir le dessin, c'est quelqu'un qui ma beaucoup inspirer .....(texte a propos de son heroine, Druuna)

"......Druuna connait parfaitement son corps, et sait qu'elle peut compter sur sa beauté. Il y a une certaine perversité dans cette candeur, perversité dans le sens proprement litteraire. Ce n'est pas une sainte. Le sexe lui plait, elle sait que le moralisme, la corruption existent dans ce monde plein de préjugés... Au moment où le pretre lui dit que le sexe est un péché, je me réfère historiquement au monde actuel où le plaisir est toujours condamné, interdit. Le plaisir du sexe est la première jouissance de l'homme. On cherche toujours à le cacher. Le mal, c'est le plaisir des sens. C'est un reflex judéo-chretien. Cela vient du monde occidental. J e doit dire que j'aime aller toujours plus loin dans la recherche de mes fantasmes. Il me plait de travailler une situation, de la chercher. Pour être honnête avec ce que je fais. Je recherche en moi, mes peurs, mes angoisses et mes fantasmes........

Avec cette serie de S.F., j'ai voulu aller au plus profond de moi même et chercher quels étaient mes cauchemars, mes rêves, ce qui m'épouvantait..........

........ J'essaye toujours de faire quelques croquis, de trouver l'image la plus juste. Je me pose la question: "dois je dessiner une scéne de sexe?" Il y a certaines zones du corps humain, qui doivent obligatoirement être censurées. Pourtant, si j'observe deux corps pendant l'acte sexuel, si je me met devant eux, j'ai la vision des sexes en action. Ce sont des images qui "choquent". Le sexe masculin est, parait il, une chose tabou, même s'il n'est pas en erection. Donc il me faut chercher, couper, masquer certains dessins de manière que le sexe masculin soit caché. Des fois, ma main se laisse aller et c'est avec plaisir que je realise le dessin tel que je le souhaiterais. Quand je le reporte sur la page originale je le change, parce que je sait que cette position est impossible. Je corrige le dessin en mettant une main ou une jambe placée d'une manière stratégique. Une sorte d'auto-censure. J'imagine que certains parmi mes lecteurs, pourraient être choqués par certaines scènes un peu crues. Scénes qui ne me posent aucun problème. Pour moi, le sexe n'a rien à cacher. Dans notre type de culture, le plaisir est toujours gommé...je me rend compte que ce problème existe, généré par cette morale chrétienne où tout ce qui touche de prés ou de loin au sexe est interdit.....

Pour certains, ces images peuvent passer pour gratuites, mais le lecteur devrait comprendre que lorsqu'on dessine certaines scénes "hard", l'auteur se divertit, c'est un moment de plaisir. Un plaisir que je ne veut pas perdre au nom de je ne sais quelle loi. Quand on dit que ce sont des images complaisantes, c'est vrai, mais je me suis amusé à les dessiner. J'espere que le lecteur se rejouit de la même manière que moi et qu'ensemble nous nous divertissons dans l'observation de cette image sensuelle, fascinante.

Serpieri

ca m'inspire une reflexion mais se sera pour la prochaine fois......

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28 décembre 2006

lilith

nus_50

Afin qu'adam goutât le fiel avant le miel

Et le baiser du gouffre avant celui du ciel

Eve etait nue, isis-lilith était voilée

Les corbeaux l'entouraient de leur fauve volée;

Les hommes la nommaient sort, fortune, ananké;

Son temple etait muré, son prêtre était masqué;

Elle buvait du sang dans le bois solitaire;

Elle avait des autels effrayants. Et la terre,

Subissait cette abjecte et double obscurité;

En bas idolatrie, en haut fatalité.

V. Hugo

pix: frédérique clément (son site dans les posts précédents)

25 décembre 2006

longtemps....

chains_5

longtemps, je me suis couché de bonne heure.

Parfois, a peine ma bougie éteinte, mes yeux se fermaient si vite

que je n'avais pas le temps de me dire:

"je m'endors". Et,....

M. Proust

25 décembre 2006

le mort 3

cata

LAVER LES MORTS

L'habitude de laver les morts, répandue dans presque toutes les cultures, correspond à une attitude de prudence, voire de méfiance de la part des vivants. Dans la plupart des cas, la mort, considérée comme un voyage vers une déstination inconnue, requiert des préparatifs. Or, ces préparatifs, les seuls que les intéressés ne peuvent effectuer, exigent des soins et obéissent à des rêgles. Pour le mort, il convient de se presenter au seuil d'une porte, à l'entrée d'un tribunal ou devant un juge à son avantage, en mettant les chances de son coté pour bénéficier de préjugés favorables, de clémence et obtenir un bon verdict.

Celui ci décidera d'une vie imaginaire dans un monde de délices ou de tourments, assez rarement neutre, comme semble le paraitre le dernier état de métempsycose indienne. Pour cela, la peau du cadavre doit être savonnée et rincée, sa chevelure, sa barbe et ses ongles doivent être coupés. Des eaux de fleurs, des huiles, des préparations alcoolisées ou des bouquets de plantes odoriférantes parfument le cadavre. Le but des senteurs agréables serait de dominer les odeurs que laissent echapper les sanies, bien que maintenues dans les orifices obstrués par des fibres végétales (coton, texture du cocotier, algues fines, ect...)

Les egyptiens de l'époque pharaonique glissaient une pièçe de monnaie dans la bouche du cadavre pour payer le passage du nautonier conduisant le mort devant les divinités juges. En europe, la toilette des morts fait appel à une main d'oeuvre spécialisée. Dans les campagnes françaises, si la sage-femme gère l'arrivée du nouveau-né, c'est souvent la femme du charpentier (qui fabrique les cercueils) ou la femme du fossoyeur qui prend en charge le départ du mort.

Pour un célèbre soufi du XIVe siècle, Bektasch, le plus grand privilège pour un mortel consisterait à se dédoubler, à laver son propre cadavre et à l'envelopper dans un linceul avant de l'abandonner aux sables du desert.

Il convient de retarder le plus possible le début de la putréfaction, qui causent aux vivants un effroi sans pareil. C'est pourquoi le lavage des cadavres s'accompagnent parfois de procédés de dessiccation au natron, de momification, d'éviscération, ou plus récemment de cryogénisation. Le lavage des cadavres, la gaine de parfums qui les entourent relèvent de la même préoccupation concernant le linceul, l'habit du mort, le cercueil, l'ensevelissement ou la préparation du bûcher funéraire.

23 décembre 2006

les saveurs.....

573708257Depuis longtemp je connaissais les saveurs de la forêt,

chaque feuille, chaque écorce, les remugles dans chaque creux;

Les odeurs du souffle de l'oiseau, de l'aile de la chauve souris;

Mais il me manquait la vue: avant que, t'approchant en silence,

Tu n'effleures mes paupières du bout léger de tes doigts.

Les arbres ont flambé, en un tourbillon de couleurs;

Et jamais non plus je n'avais eu conscience du ciel.

Robert Graves, Gift of Sight

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23 décembre 2006

le mort 2

inde Chez certains, ensevelir au plus vite

Les musulmans, qui redoutent à la fois la contagion et la vision d'une transformation radicale de l'être humain, préconisent l'enterrement le jour même de la mort. Le cadavre lavé, simplement enroulé dans un linceul, est enfoui dans la terre, sans cerceuil, sans maçonnerie. Sa destination est de devenir poussière et de retourner à son origine, molècule de l'univers indiférenciée.

La famille et les proches, réunis aprés une période de quarante jours (temps nécessaire à la dessiccation, mais aussi temps mythiques des retraites précédant les révélations dans le desert), se livrent à des prières pour évoquer son nom.

Chez d'autres, veiller les morts

Les chrétiens préparent des veillées qui laissent aux parents et aux amis la possibilité de se livrer à une fête funèbre: chants, prières, récits de souvenirs, repas, vêtements spéciaux participent à un jeu de la mémoire réactivée pour faire reculer le moments des adieux. Apres la "toilette du mort", le corps déposé dans un cercueil plus ou moins luxueux exigerait encore des attentions; chandelles ou lumières spéciales, eau bénite, fleurs, etc... un tombeau creusé ou maçonné devient la seconde demeure du défunt et de sa famille. Ces rites chrétiens correspondraient à des tentatives de conservation de l'intégrité du corps, faibles certes, mais se rapprochant des techniques de l'embaumement.

Dans les églises allemandes, espagnols ou mexicaines, il n'est pas rare de dècouvrir des squelettes habillés et parés de bijoux. La mort joue à se montrer séduisante en offrant une vision optimisée du cadavre transformé. Celui ci, devenant une relique, acquiert une efficacité symbolique puisque des pouvoirs peuvent lui être attribués.

La mort constituerait un nouveau cycle de vie en nouvelle-guinée chez les peuples du fleuve sepik. Ils se livrent en effet à une véritable création à partir du cadavre. Lorsque celui ci se déssèche et que le squelette apparait, ils façonnent un nouveau visage pour le mort avec de l'argile et des couleurs végétales.

Cette pratique des crânes surmodelés garantirait un séjour harmonieux et socialisé dans le royaume de l'au-delà.

pix : En inde un sadhu, à la barbe et la chevelure couvertes de cendres, présente deux crânes soit à la famille, soit aux menbres de la communauté villageoise. Or, les hindouistes dont fait partie ce renonçant brulent leurs morts sur des bûchers, à l'exception des malades tués par la variole. Les crênes appartiendraient donc vraisemblablement à des victimes de cette maladie. PIX  Emmanuel Valentin

21 décembre 2006

le mort 1

mort_1

Au dela de la vie

Entre vie et mort-notions abstraites-s'interpose le cadavre. Le corps mort, gardant sa forme mais devenu objet fragile et instable, représente un problème pour les vivants qui ne cessent de rêver d'eternité. Entre l'idée de résurrection de la chair et le "rien" du nirvâna, diverses solutions de transformation-conservation du cadavre se présente aux hommes.

L'horreur de la putréfaction

Depuis la nuit des temps, l'être humain rêve d'éternité. Celle ci cependant, épouse des perspectives différentes selon le rang de l'individu. S'il appartient aux classes populaires, il considérera sa descendance comme son prolongement. S'il est prince ou roi, il mettra son espoir dans la renaissance de son aspect de terrien, le plus séduisant. Il croira donc à la resurrection de la chair, porteuse de son esprit. Il lui faudra alors conserver un moule, son enveloppe de peau, pour qu'au-dela de la mort, dans un temps qu'il ne connait pas, elle puisse s'assouplir, se reactiver et de nouveau s'irriguer de sang et de souffle.

L'usage de momifier les corps des souverains et des chefs se perpétue pendant plusieurs millénaires en egypte, au pérou. Cependant, dans la majorité des cas, les corps "ressuscités" ne seraient que des corps de viellards au visage chenu, aux menbres décrépits. Akhenaton, qui mourrut dans son jeune age, bénéficia d'une momie bien constituée de sarcophage splendides. Peu-être fit-il sculpter les masques d'or et de bois de son propre cadavre alors qu'il était vivant?

Le Moyen-age européen emprunta aux orientaux le mythe de la fontaine de jouvence pour oser envisager une vie aprés la mort. Dans le monde technologique, la cryogénisation, réservée aux agonisants riches, remplace la momification.

Sans passer par ces techniques de conservation du corps, plusieurs religions attestent la croyance en la résurrection de la chair. Tenter de conserver un corps privé de vie, c'est faire face à l'épouvante de la putréfaction. Tous les êtres humains considèrent la décomposition des chairs avec horreur. Les rites religieux camouflent généralement cette phase, autre rite de passage, qui dure plus ou moins longtemps selon le climat.

La question "que faire du cadavre"? se pose en termes d'urgence, de précaution, de protection.

pix: Dans un cimetière sibérien, les parents du mort se recueillent sur sa tombe. S'ils pratiquent le christianisme (orthodoxe), indiqué par la croix plantée à la tête de la fosse, ils n'abandonnent pas totalement pour autant le chamanisme de leurs ancêtres. Des présents (nouriture, boissons, objet familier ou jouet) soulignent la relation qui persiste entre les vivants et les morts. pix by Claudine Doury 1996

20 décembre 2006

divine

masque_d_eternit_

juste un ti dessin pour finir ma nuit

divine ou le masque d'éternité

regard de feu pour corps froids

et hop dodo, le jour se lève........

S.

20 décembre 2006

pour infos

nus_44

comme suggérer par sowhat j'ai essayer de trouver le site de Frédérique Clément, je pense pas avoir trouver le bon!! ceci dit j'ai decouvert le site d'un photographe qui se nomme frédérique Clément (dingue) superbe site et superbes photos je vous en met quelques une et un lien vers son site

évidemment, névrose oblige, je n'ai pris que des nus!! mais son site offre beaucoup d'autres styles de photos!!!

merci sowhat (indirectement responsable)

http://www.fredclement.com

S.

nus_10nus_6

nus_7

20 décembre 2006

ou quand le "violent" devient un critère de bien...

actuel conversation:

"bien violent et profond"

ou quand le "violent" devient presque un critère de bien...il y a beaucoup de malaise, à mon sens, dans tes pages et dessins, autour de la féminité : complaisance d'ados pour le morbide? ou blessures de la vie?

Si les souffrances et le mal être ont besoin de se dire, je crois aussi que la fascination pour la morbidité les entretient...le coté japonisant du dessin me rapelle combien le HentaÏ donne une image degradée, machiste, et névrotique des femmes, réduite à leurs obus, étreintes par des serpents...

Je te souhaite plus de couleur et de... beauté

sowhat 18/12/06 21:06

(et comme , à te relire...une fascination trouble et obsédante-je soulignerais obsédante, car j'y sens quelque chose d'un peu névrotique pour le féminin sexuel, aux formes généreuses dans lesquelles s'absorber, comme on retournerait au...sein maternel. Oui je sais, ce n'est pas rare, Oedipe, tout ça). Ne laisse pas ce commentaire publié s'il te gène, je comprendrais

sowhat 18/12/06 21:21

Ok!!!!!

ok alors ya aucun problemes, tes comms ne me gènent pas, complaisance d'ados pour le morbide! je prend ca comme un compliment ya trestres longtemps qu'on m'avait pas traiter d'ados....blessures de la vie, ben ouais comme tout le monde c'est ce qui fait avancer, le complexe d'oadipe j'ai régler ca il y a longtemp, ceci dit même si il y a du vrai certainement dans ca que tu écrit, même inconsciement, il y a d'autre explications plus simples j'aime les femmes avec des formes et je ne dessine que ce qui me fait réver ou ce qui va déclencher un truc quand on le regarde, si je peut me permettre, c'est tout a ton honneur d'essayer de penser et de comprendre mais il suffit ptete juste de regarder et d'aimer ou pas, juste ressentir pas expliquer, se laisser vivre.

Si jamais tu voulais continuer ton analyse en plus je me drogue, et a mon avis je suis atteint de ce que l'on apellerai le syndrome de Peter Pan.........

PS: désoler j'adore les hentaÏ, et ce ne sont que des films des dessins animés ce n'est pas pour autant que je ne respecterais pas la femme et son intellegence en plus d'aimer ses formes.....

S. (le pierrot)

sammael 18/12/06 23:35

"ce n'est pas pour autant que je ne respecterais pas la femme et son intelligence en plus d'aimer ses formes".......la veinarde;)

Le hentaï ça reste malgré tout un truc de mec, dont les scénarios (il y a souvent des viols, des accouplements avec des monstres) sont faits pour les mecs, et mettent la majorité des nanas mal à l'aise, et foutent la gerbe aux nanas qui ont été agressées. C'est un imaginaire d'adolescent qui les séduit parce qu'il permet de ne pas avoir de lmite, et qu'il considère les femmes que par le prisme des désirs masculins...pouah...

(et pour moi le talent, le talent, en dessin, c'est autre chose...tu connais Frédéric Clément, par exemple? si non, eh bien tu devrais! ça c'est onirique-et ne se complait pas dans la vision de corps féminins offerts, ou sanguinolants...

A te lire je me disais qu'un psychanaliste aurait des choses à dire sur tes ressorts inconscients...

Ca ne veut pas dire que tu manqueras de respect à une femme (et heureusement car quelle putain de lacheté et quel aveu de faiblesse) mais à mon avis la fascination trouble que je sens vient du fait que tu considères le féminin et une femme comme "autre", étrangère à toi, déginie d'emblée par sa féminité et sa différence...sans saisir, au plus profond de toi, que cette femme que tu regardes, et qu'elle est toi. qu'on est du "même" (et même si tu es d'accord rationnellement avec ce raisonement, souterrainement j'en suis beaucoup moins sûr): ce qui t'empêche sans doute de rencontrer les femmes comme tu rencontrerais un alter égo, c'est qu'elles sont avant tout pour toi leur féminin, leurs "attributs" (et la phrase que j'ai recopiée de toi te trahit bien...) ...finalement la fascination trouble et un peu morbide, pulsionnelle, que tu as pour les formes des femmes, empêche la rencontre avec elles, avec Une...

sowhat 19/12/06  11:50

et pou finir, lachons le mot: tes dessins et ta vision ne sont pas particulièrement...féministes. Je trouve important de dire ce mot? Etre féministe c'est ne pas réduire-y compris dans le dessin-les femmes à leur féminin en en faisant de purs objets de fantasme.

Le désir qui nait de la vraie rencontre de l'autre, aussi, d'un charme plus feutré que les obus que tu dessines, c'est autrement plus beau, et plus... subtile

sowhat 19/12/06 11:54

et pour finir (oui oui, ouf), quand tu dessine une femme ouverte, offerte, écorchée, monstrueuse, c'est toi que tu dessines aussi: tu es cette femme aux seins obuesques, tu es cette femme allongé...il n'y a pas de elle et toi...elle n'est pas "autre"...

(et tu parles aussi de l'homme que tu es puisque ton trait ne raconte que les projections de ton esprit sur le papier)

bon j'ai terminé ;)

porte toi bien man

sowhat 19/12/06 12:03

ouais ouais interressant tes comms, j'ai pas besoin de psy puisque t'est la! apres mures reflexions je vais aller me faire un buz...je pense que je vais faire lire tes commentaires sur mes dessins a mes exs histoire de comparer, ca peut être marrant, en plus jui connu pour être un sale con obsédé donc tu m'aprends pas grand chose

sammael 19/12/06 13:20

ps

comme inspiration entre autres, jui un grand fan de serpieri (mais ya que des monstres et des femmes nues ca va pas te plaire, la serie druuna) mais aussi de manara, et bien sur de royo, pour les peintres pff yen a trop mais mon préferer c'est dali et tous ses petits potes, tapies, picasso exct...

ceci dit je me permet une question, tu a quel age?

Je pense que tu a un probleme avec les femmes, ce ne sont pas que des corps bien sur mais ce n'est pas que de l'intelligence, c'est les deux! ta pas du aimer les films comme "baise moi"! de breihat (jamais su comment ca s'écrivais son nom) ben en fait si sa peut te rassurer moi non plus...

Si je peut me permettre un conseil arrete de penser et laisse toi vivre, et désoler jui pas névroser!!!! enfin jcrois

sammael 19/12/06 13:36

Baise moi c'est despentes, et, vu la qualité de l'écri-vaine, je n'ai pas été le voir.

Je suis bien au courant que les femmes "ne sont pas que des corps", et que "ce n'est pas que de l'intelligence": comme tu résumes avec nuance les composantes de l'être!

Peut-être désiraij-simplement, une personne qui s'incarne plutôt qu'un corps auquel je concède un supplèment d'âmes....(et je suis pas tres persuadé que tu aies entendu mes propos sur le même et l'autre)

"arrête de penser et laisse toi vivre", c'est l'adage des lâches et des informes, j'espère que tu ne le fais pas trop tien.

sowhat 19/12/06 13:57

si j'ai recopier cet echange (present sur mon blog) ce n'est pas par moqueries ou autre chose de se genre, mais plus que je pense qu'il peut interresser d'autres personnes, masculines et féminines, bien que je ne soit pas daccord avec tous, il y a dedans des choses qui mérite reflexions!! pas en ce qui concerne ma santé mentale, ça c'est foutu......non plus pour avoir d'autres avis histoire d'échanger

et pour répondre a sowhat

en essayant d'être assez clair je dirais que bien sur on ne résume pas une femme a une paire de seins, c'est un tout une personnalité, un caractère, un corp exct.....

mais je ne dessine pas des personnalités! je dessine des corps, et des petits seins c'est chiant a dessiner....sérieusement, le dessin comme beaucoup de chose est un moyen d'évasion, de reflexion indirect (sans faire de l'arthérapie), c'est une porte vers ailleurs, et dans les ailleurs il y a nos fantasmes, les moins avouables, nos rêves, nos regrets, notre mémoire déformé par "le prisme des désirs masculins" (je sais c'est a toi mais j'aime beaucoup!:) je pense que a force d'attendre la perfection féminine l'ange de ta vie ton incarnation, tu risque de passer a coter de pas mal de choses, et le coté "arréte de penser laisse toi vivre", c'est plus comme ca qu'il faudrait le prendre, ou alors c'est mon coté fumeur amorphiquementfeignant qui parle...c'est possible aussi

juste ressentir les choses....

A bientot sowhat, sans aucunes rancunes du tout et j'espere que le fait de remmetre tes comms ne ta pas deranger, tu a tout a fait le droit d'écrire la suite, et les autres aussi si ils sont inspirés

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