Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
sammael world
11 juillet 2007

Blues d’une vie

6x6laura

Martèlement des images floues et noirs

Arabesques des sentiments, formes sensibles

Retrait de la vie, simple témoin

Promeneur solitaire, marquer par le temps

Enivrement du toucher, griseries des images

Abandon de la tristesse, nouveaux sentiments

Négation de la vie, de l’amour

Seul face a cette images, sentiments exacerbés

Noie mon âme dans les tourments des sentiments

S.

6x66

pix: anxiogène

Publicité
Publicité
4 juillet 2007

vivre

sieff

L'éternité n'ayant pas de durée
Et la vie ne valant qu'un seul jour,
Rien ne vaut alors la peine de s'attrister
Car qu''importe le passé, qu'importe le futur,
Les mystères se sont envolés.
Cette divine journée ne peut être que beauté
Mais le mal et les mystères ne font que la gâcher,
Intense et profond, silencieux et muet, simple et dénudé,
Tel est l'être que nous sommes parmi l'immensité
.

Song Qiu ZHANG

on avance vers le rien......

en esperant pouvoir reculer,

on avance en regardant le passé,

en espererant ne pas le reproduire,

mais l'homme est homme est a besoin de douleurs pour exister..........

S.

3 juillet 2007

fin de nuit.....fin de vie.......

Alyz33

     Ma trilogie...........................................................

Suicide rédempteur

Épuisé d’affronter les puissances du vide,
Dont les crocs acérés déchirent son esprit
En lambeaux ténébreux de souvenirs flétris,
L’homme s’abîme au fond d’un désespoir morbide.

La cervelle embrumée par un poison perfide,
Inapte à effacer l’ennui qui le meurtrit,
Il gît dans la douleur de son corps amaigri,
Constellé d’un lacis d’ecchymoses livides.

Une voix survenue de son cœur assombri
L’invite à s’envoler vers le paisible abri
Du néant tapissé d’un silence limpide.

L’ange de la démence, à son chevet, sourit,      
Avant de lui offrir, d’une main translucide,         
Le poignard artisan de son proche suicide.

Mort légère



De mon âme pétri d’une vive espérance,
Les anges du néant ont arraché les fleurs,             254_md
Avant de m’allonger sur un lit de douleur,
Où les crocs du regret attisent ma démence.

Dans la nuit barbelée d’un ténébreux silence
Dont les lames glacées me déchirent le cœur,
Je vois poindre au lointain les vermeilles lueurs
Du soleil prisonnier d’un sarcophage immense.

Dans mes veines s’écoule un sang dévastateur
Qui dissout l’avenir en vagues de terreur,
Dont l’âpre grondement hante mon existence.

Quand siffle à mon oreille un vent annonciateur
D’un matin infesté d’effroyables souffrances,
Je prie pour que la mort hâte ma délivrance.

Mort rédemptrice



À jamais délivré des atroces souffrances
De ma vie ténébreuse, exempte de plaisir,              Santerineross05
Souillé par les échos d’effrayants souvenirs,
Confiant, je m’envole aux confins du silence.

De ce monde écœurant, pétri d’indifférence,
Bordé d’un horizon achevant d’assombrir
Le canevas subtil de mes anciens désirs,
Je m’éloigne, drapé d’un voile d’innocence.

Aujourd’hui, calmement, je choisis de partir
Loin des hommes sournois, zélés à engloutir
Mes rêves dans le puits de leurs vaines démences.

Une froideur bénie commence à envahir
Ma carcasse fourbue, tandis que je m’avance
Vers le néant vainqueur de ma désespérance.

P. Guenot

bonne nuit................

S.

20 juin 2007

cendres..........

lastscan

Cendre de l’ennui

Au centre de mon attente désarmée,
J’abolis ma raison
Dans les vestiges de la parole.

Entre les fleurs de la gloire
Et la poussière de l’oubli,
Je creuse ma postérité.

Dans l’obscurité indécente,
Je me cogne aux arêtes du silence
Jusqu’à l’ivresse de la douleur.

Au seuil de l’aube grise,
Je me débats contre les papillons noirs
Qui hantent mon insomnie.

Seule avec mes défaillances définitives,
J’abdique mes chances ultimes
Dans la cendre de l’ennui quotidien.

missred07

Cendres des voluptés

Dans les cendres des voluptés,
Palpite une tristesse amère
Dont les remugles délétères
Étouffent le cœur exalté.

La griffe du chagrin s’affaire
À lacérer l’être indompté.
Dans les cendres des voluptés,
Palpite une tristesse amère.

La nuit s’acharne à déliter
L’espérance du solitaire
En lambeaux de regrets, qu’enterrent
Les anges de l’obscurité
Dans les cendres des voluptées


P. Guenot

18 juin 2007

réveries d'un promeneur virtuelle solitaire..........

mer

Carrefour de l’insomnie

Au carrefour de l’insomnie
Naissent des mots complices
De désirs inventés.

Dans la nuit languide,
Le souffle d’un poème
Efface l’empreinte d’un regret.

Le miroir du passé se brise
En fragments équivoques
Dont la douleur s’émousse.

À l’angle des certitudes,
Le chemin de l’errance
Fleurit de sourires tendres.corbeau

Sous un rêve avorté
Germe une fleur d’espoir
Au parfum d’imprévu.

Dans le cœur écorché,
Une voix anonyme
Tisse un ruban de joie
Aux couleurs du futur.

P. Guenot


Publicité
Publicité
<< < 1 2 3 4 5 6
sammael world
Publicité
Archives
Publicité