douleur
Pour se repaitre ainsi de stupre et de sang, il faut bien que mon âme soit semblable à la divinité.
Mais nulle aurore ne dissipe les orgies des dieux......mes aubes miennes sont bileuses et le gout sanglant des chairs lacérées me soulève de nausées...
Quand la bète acéphale a joui et s'est repue, ne reste a l'homme qu'a souffrir le remords et la honte...
Nul echo ne rèsonne ici de mon infinie lamentation d'être sans juge...
Bien des siècles aprés avoir banni la passion, la passion a resurgie dans la retraite de la bète degoutante
Ses yeux portés sur moi font renaitre du tréfonds de la fange de perversion qui croupit en mon âme, la lueur pure et naive de l'emotion.....
Insoutenable
Ma crainte est grande de l'avilir...
Une femme telle qu'il en existe des millions, qui par la vertu de sa seule présence, cette femme là m'apaise...........
Car elle surpasse les dieux, celle qui a su entendre, par delà le vacarme du mal et de l'odieux, mon humaine voix de souffrance......