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sammael world
20 avril 2013

la theorie des anciens astronautes

JomonStatue

 

La théorie des anciens astronautes, aussi surnommée néo-évhémérisme par le sociologue Jean-Bruno Renard, est une spéculation ufologique selon laquelle les dieux, dont parlent les anciennes mythologies et dont l'archéologie met les cultes en évidence, étaient en fait des extraterrestres humanoïdes. Cette théorie est souvent attribuée à Erich von Däniken mais, si ce dernier l'a amplement popularisée en 1968, elle avait toutefois déjà été proposée avant, notamment par le théosophisme d'Helena Blavatsky ou en 1962 par Robert Charroux.

Cette théorie est considérée comme n'ayant aucun fondement par la communauté scientifique, car les éléments archéologiques prétendument inexpliqués ont le plus souvent une explication rationnelle déjà exposée par les archéologues. Par exemple, la technique de fabrication des géoglyphes de Nazca peut aujourd'hui être expliquée par des procédés strictement humains. Jean-Pierre Adam, dans un de ses ouvrages, explique que la construction de la grande pyramide ne repose pas sur un savoir étranger à l'espèce humaine mais bien sur les techniques de l'époque.

 

Théorie

La théorie repose sur les hypothèses suivantes :

  • les civilisations anciennes (égyptienne, maya, andines, etc.) n'auraient pas possédé les connaissances nécessaires pour réaliser certaines de leurs constructions ou productions ;
  • des éléments des textes anciens donneraient des indices d'une présence extraterrestre : certains personnages masqués présents sur des fresques anciennes représenteraient des astronautes, d'autres éléments représenteraient des ovnis ou des pistes d'atterrissage ;
  • les extraterrestres auraient influencé le développement des civilisations, en enseignant aux Terriens l'agriculture, l'écriture, etc., voire en altérant l'ADN humain pour favoriser l'évolution vers une espèce plus intelligente. On rejoint ici la théorie du dessein intelligent extraterrestre, que l'on retrouve dans plusieurs mouvements religieux ou sectaires comme le mouvement raëlien avec les Elohims, ou chez Jean Sendy ou encore Roger Vigneron, selon qui la Bible évoque le peuple des Élus (Elohims terme hébreux présents dans l'Ancien Testament qui signifie « Ceux qui viennent des cieux ») venus sur Terre dans leurs roues de lumière (Weidorjes) ;
  • les peuplades primitives, face aux extraterrestres, auraient considéré que ceux-ci étaient des dieux.

Selon Erich von Däniken, le culte du cargo est un exemple contemporain de croyances religieuses issues d'une culture tribale confrontée à une civilisation technologiquement avancée.

Dans le cadre de cette théorie, les géoglyphes de Nazca, au Pérou, sont notamment considérés comme une piste d'atterrissage pour les extraterrestres, ou bien une sorte de message envoyé par la population locale aux extraterrestres.

Retombées

La théorie a eu un fort retentissement médiatique. Elle n'a jamais été sérieusement considérée comme une théorie scientifique par les historiens ou les archéologues, mais elle a donné lieu à de nombreuses études :

  • journalistiques, notamment sur Erich von Däniken (1968), influencé par Robert Charroux (1963) ;
  • sceptiques, dans les cercles sceptiques ou zététiques, qui se sont notamment appliqués à invalider l'hypothèse selon laquelle les moyens antiques étaient insuffisants pour produire ce qu'ils ont fait ;
  • sociologiques, pour se pencher sur l'apparition de ces croyances aux extraterrestres. Le sociologue Jean-Bruno Renard a surnommé la théorie des anciens astronautes le néo-évhémérisme. En effet, le philosophe grec Évhémère (IIIe siècle av. J.-C.) expliquait la croyance dans les dieux par l'existence de personnages illustres qui auraient, par la suite, été divinisés par la population. Le néo-évhémérisme suit le même principe : les peuplades primitives, face à une technologie supérieure, auraient divinisé ces visiteurs en provenance de l'espace.
Peintures du Val
Camonica, Italie, Xe millénaire av. J.-C., qui ont été citées comme représentant des visiteurs extraterrestres par les partisans de la théorie des anciens astronautes. Les archéologues considèrent qu'elles dépeignent des dieux, ou des figures mythologiques.
Les Dogū (土偶) sont considérés par les partisans de la théorie comme d'anciens astronautes ayant visité la Terre pendant la période Jōmon (Xe millénaire av. J.-C. à IIIe siècle av. J.-C.) au Japon. La statuette montrerait selon eux une combinaison spatiale avec casque et lunettes. Pour les archéologues, ces statuettes sont liées au culte de la fertilité.
Selon la théorie des anciens astronautes, des visiteurs extraterrestres auraient influencé la vie humaine pour des millions d'années, et auraient effectué des manipulations génétiques en altérant l'ADN humain afin de favoriser l'évolution vers plus d'intelligence.
Les partisans de cette thèse pense que les dieux évoqués dans la mythologies et dont l'archéologie met les cultes en avant, seraient en fait des extraterrestres humanoïdes.
Cette théorie est, cependant, considérée comme n'ayant aucun fondement d'après les scientifiques.

Des traces telles que les pyramides d'Egypte ou d'Amérique Latine (voir le le documentaire "La révélation des Pyramides"), les lignes de Nazca au Pérou, ou d'anciennes cartes appartenant à l'Amiral Piri Reis de la marine turque en 1 500, les statues de l'Île de Pâques, les roches archéologiques semblant représenter des entités ET, ou encore même le Mythe des Géants, seraient des preuves sensées confirmer cette théorie.

Erich Von Däniken, d'origine suisse et passionné par les écritures anciennes et sacrées ainsi que les énigmes archéologiques non résolues, pense que la terre a été visitée dans le passé par des êtres d'un autre monde pour faciliter l'avancé de notre civilisation, et cela depuis la préhistoire.
Il est l'un des principaux promoteurs de cette théorie des anciens astronautes et a même créé le concept d'astroarchéologie considéré comme une pseudo- science s'appuyant sur l'archéologie afin d'étoffer l'ufologie.

Selon la théorie des anciens astronautes, les égyptiens n'auraient jamais pu construire à eux seuls les pyramides quand on connaît leur degré de développement à l'époque.
De plus, comment se pourrait-il que ces mêmes pyramides se retrouvèrent en Amérique Latine ?

De même pour les lignes et géoglyphes de Nazca découvert en 1926 au Pérou dans le désert, et qui sont de grandes figures tracées sur le sol représentant des figures longues de plusieurs kilomètres. Ces lignes d'une incroyable précision ne sont visibles qu'à partir du ciel. Ils furent découverts par hasard par le Commandant Peri qui survolait la Cordillère des Andes à bord d'un hélicoptère. Les archéologues furent frappés par la présence de deux immense formes humanoïdes gravées dans la pierre dont l'une ayant la main droite levée en signe de salut et dont les têtes étaient ornées de rayons. Les autres "grabados" figurant des oiseaux, des serpents, des araignées ou des poissons s'avérant avoir été remarquablement exécutés et de manière très réaliste et ce malgré la proportion des figures, les dessins de ces humanoïdes sont d'autant plus remarquables.
Pour Guiseppe Orefici qui mena des fouilles durant 17 ans, les Nascas développérent une civilisation raffinée et originale et les fameuses lignes de Nazca étaient empruntées par des processions humaines au cours de cérémonies religieuses qui rendaient ainsi hommage à leur panthéon de dieux totémiques animaliers et entretenaient les sillons creusés à même le sol rocailleux.
Les géoglyphes de Nazca sont inscrits sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco depuis 1994.
Selon certains ufologues, il s'agirait soit d'une piste d'atterrissage pour les vaisseaux spatiaux extraterrestres, soit d'un message réalisé par la population locale destiné à ces ET.

La revue Horizon relata la découverte d'une ceinture avec ornements ajourés vieille de 1600 ans, mise à jour dans la tombe du Général Chou-Chu (265-316 après J.C) et qui soumise à une analyse spectrale par l'Institut des sciences appliquées de l'Académie des sciences chinoise se révéla être composée pour 80% d'aluminium. Or le seul procédé pour extraire de l'aluminium à partir de la bauxite, l'électrolyse, ne fut découvert qu'en 1908.

Il y a aussi les Grottes de Lascaux, découverte en 1940, et située dans le Périgord noir sur la commune de Montignac en Dordogne. On y distingue d'époustouflantes images représentant des constellations du ciel tel qu'il était il y a 17000 ans.

En Italie du Nord, les graffitis du Val Camonica révélèrent des formes humanoïdes portant des casques semblant fermés.

Certaines représentations comme les graffitis de la grotte d'Altamira en Espagne sont particulièrement impressionnantes.
Elles datent du Magdalénien III; IV ou VI (-12000/-10000 avant J.C). Elles représentent des formes de soucoupes en suspension, pleines ou claires, disposées essentiellement sur la voûte de la grotte, et aux cotés desquelles figurent d'étranges formes humanoïdes.
Dans la grotte de Niaux (en Ariège), dans une zone baptisée "le diverticule des signes", furent découverts des dessins très semblables à ceux d'Altamaria.

Ces extraterrestres qui auraient influencé le développement des civilisations auraient enseigné aux Terriens l'agriculture, l'écriture, l'astronomie,…

Von Däniken pense que la Bible, comme d'autres écrits anciens du monde entier, contient des descriptions de visiteurs des étoiles ayant ensemencé la race humaine.

Certains pensent qu'il n'est pas impossible que les pyramides aient été construites par des êtres venus d'ailleurs, de même pour les dessins de Nazca (même si des théories intéressantes ont tenté de les expliquées).

Des conspirations peuvent avoir lieux dans le silence le plus complet, des civilisations extrêmement développés ont pu intervenir à un moment ou à un autre sur notre terre, mais il ne faut justement pas tomber dans l'extrême au risque d'ébranler les fondements même de notre société, et ainsi prendre le risque de décrédibiliser le phénomène Ovni.
Arrivons déjà à cerner ce dossier si insaisissable avant de sombrer dans des théories encore plus difficile à évoquer et à étudier.

Les Dogons et le mystère Sirius

Germaine Dieterlen et Marcel Griaule étudiaient les rites de la tribu Dogon des Monts Hombori et du plateau de Bandiagara au Mali entre 1936 et 1950, ils furent atterrés par les exceptionnelles connaissances astronomiques de ces indigènes, pourtant dépourvus de tout matériel d'optique. Ils descendaient d'une civilisation du Proche Orient, peut être liée aux Sumériens.
Les Dogons semble connaître depuis des temps lointain deux étoiles compagnes de Sirius. Sachant que la vision humaine ne permettait d'apercevoir que l'étoile Sirius.
En 1862, l'astronome américain Alvan Clarke découvrait à l'aide d'un télescope puissant la deuxième étoile proche qui fut appelée Sirius B, une naine blanche, compagnon plus petit et plus lourd que Sirius et que les Dogons avaient baptisé " Po Tolo " ou " Po-Digitania " du nom d'une graine de céréale.
Les Dogons savaient  que Sirius B bouclait son orbite elliptique autour de Sirius A en 50 ans, ce que personne d'autre n'avait découvert puisque la période de révolution (50,090) ne fut établi définitivement qu'en 1960 par Van Den Bas.
Les Dogons affirmaient qu'il existait une troisième étoile dans ce système que nous nommerons Sirius C.
Ogotemmeli devait révéler que leurs ancêtres étaient venus d'une planète orbitant autour de cette étoile qu'ils nommaient " Emma Ya "," Sorgo " ou " L'étoile des femmes ". Le prêtre affirma que la période de révolution de cette étoile autour de Sirius A était de 32 ans, sur une orbite elliptique très excentrique et perpendiculaire à celle de Sirius B.
Dés 1920, des chercheurs évoquaient l'éventualité de son existence. En 1991, soit environ 45 ans après que Griaule et Dieterlen aient recueilli ce témoignage du prêtre Dogon Ogotemmeli, les astronomes Jean Marc Bonnet-Bidaud et Cécile Gry affirmaient, dans la revue "Astronomy and Astrophysics", soupçonner l'existence de Sirius C du fait du changement de couleur du système qui avait été distingué au fil des observations, posant notamment l'hypothèse que le 3em compagnon de Sirius pouvait avoir une orbite très aplatie. Les dernières simulations par informatique effectuées à l'observatoire de Nice par les astronomes jean Louis Duvent et Daniel Benest semblent confirmer son existence.

Source :
Extrait du magazine "Aliens" n°3 Mars 2010. Essais de Thibaut Canuti.


 
Le mystère des cartes de Piri Reis

En 1929, on trouva à Istanbul dans le palais Topkapi des cartes géographiques séculaires qui avaient appartenu à l'amiral Piri Reis, officier de la marine turque. Il les aurait tracées en 1513. Ces cartes, que Piri Reis, contemporain de Christophe Colomb, disait avoir découvertes en Orient, éveillèrent l'intérêt de nombreux savants dés que leur existence fut connue.
La Bibliothèque Nationale de Berlin possède encore des cartes de Piri Reis reproduisant le bassin méditerranéen et la mer Morte. Ces cartes retombèrent bien vite dans l'oubli et ce n'est qu'en 1965 qu'elles furent confiées pour examen au cartographe américain M. I. Walters, des services hydrographiques de la marine US.
Walters demanda l'aide de son ami Mallery, ingénieur et archéologue, connu comme spécialiste des cartes anciennes. Celui ci fit une découverte extraordinaire : "  ces cartes étaient parfaitement exactes et cette précision ne concernait pas seulement le bassin méditerranéen et la mer Morte. Les côtes de l'Amérique du Nord et du Sud étaient également reproduites avec précision ainsi que, découverte la plus étonnante, les contours de l'Antarctique. Mais ce n'était pas tout : les cartes comportaient aussi la topographie des terres ; chaînes de montagnes, commets, lacs, fleuves et hauts plateaux y étaient consignés avec la plus extrême précision. "
Afin d'effectuer plus d'analyses, toutes les cartes furent confiées au Père jésuite Lineham, directeur de l'Observatoire de Weston qui les examinât à son tour. Ce savant, qui s'intéresse passionnément à l'Antarctique se rendit compte que cette dernière figurait déjà sur les cartes de Piri Reis.
"  Les conclusions auxquelles sont parvenus, au terme de leurs récents travaux, le professeur Charles H. Hapgood et le mathématicien Richard W. Strachan, sont parfaitement surprenantes. Ils mirent au point une grille de lecture et transposèrent les cartes sur un globe moderne. Leurs recherches ultérieures et les comparaisons avec des photographies du globe terrestre prises par des satellites ne firent que confirmer leur supposition : les originales des cartes de Piri Reis étaient des photographies prises à très haute altitude. "

Il n'a été possible de cartographié totalement la terre qu'il y a très peu de temps (grâce aux satellites). Comment les civilisations antérieures auraient pu s'y prendre avec tant de précisions ?

" Diego Cuoghi aurait démontré que la carte n'était que la compilation de celles de Christophe Colomb et que la représentation de l'Antarctique n'était qu'un fantasme de la part de C. Hapgood. "

"  Le support de la carte aurait été daté par le carbone 14 et il remonte bien au XVIe siècle. L'encre aurait également été testée chimiquement et daterait aussi du XVIe siècle. Tous ces tests ont été effectués par W. Mc Crone un spécialiste qui a déjà travaillé sur le suaire de Turin ".

La carte de Piri Reis serait donc authentique et serait la preuve que les Turcs, bien qu'étant loin de l'océan Atlantique et de l'Amérique, se tenaient au courant des dernières découvertes de l'époque.

D'autres septiques disent que le Groenland, tel qu'il est dessiné par l'amiral Piri Reis, correspondait aux lignes de relief trouvées par ces expéditions polaires et en particulier aux deux étranglements médians qui partagent ce territoire en trois parties, ce que révélait déjà, on le sait, la carte de Zeno. Et que dans la carte de Piri Reis de 1513, le rivage qui prolonge si longuement celui de l'Amérique du Sud, ne pouvait qu'être que celui de l'Antarctique tel qui est actuellement à plus de trois mille mètres sous les glaces.

Le mystère demeure toujours.



 
 
 
   
 
 
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