Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
sammael world
23 septembre 2012

le livre de salomon

564751_352266581525222_1521812671_n

 

Salomon (Bible)

Salomon, fils de David et de Bethsabée, est un roi d'Israël selon la Bible hébraïque (de 970 à 931 av. J.-C. selon la chronologie biblique usuelle). Sa sagesse et sa justice firent de lui le roi le plus sage et juste de l'Ancien Testament. Il fait construire le premier Temple de Jérusalem, dit Temple de Salomon. Sa naissance est mentionnée dans le Deuxième livre de Samuel, puis son règne est raconté dans le Premier livre des Rois.

Le jugement de Salomon (dessin sur papier)(1648-1649), de Nicolas Poussin
 

Récit biblique

Salomon, fils et successeur du roi David

Salomon est le deuxième fils que le roi David eut de sa femme, Bethsabée, que celui-ci avait prise à Urie le Hittite.

Quand David fut vieux, son fils Adonias tenta de se faire proclamer héritier. Alors David ordonne au prêtre Sadoq d'oindre Salomon comme roi après lui. David, mourant, confie ces paroles à son fils de douze ans : « Je m'en vais par le chemin de toute la terre. Tu seras fort et te montreras un homme, et tu prendras garde à Dieu, ton Dieu, en marchant dans Ses voies, en gardant Ses statuts, Ses commandements et Ses ordonnances, comme il est écrit dans la loi de Moïse, afin que tu réussisses dans tout ce que tu feras et où que tu te tourneras » (I Rois 2, 2 et 3). Après 40 ans de règne, David meurt. Salomon devient ainsi roi d'Israël.

Le jugement de Salomon
Jugement de Salomon, trésor de l'abbaye de Saint-Denis, XeXIe siècle, musée du Louvre

Considéré comme « Sage parmi les hommes », il se rendit populaire en début de règne par ses jugements pleins de sagesse. Il avait d'ailleurs demandé à Dieu (2° livre des Chroniques chapitre 1 verset 7 à 12 ) de le munir d'un cœur qui sache écouter. Le Premier livre des Rois (3, 16-28) raconte ainsi le différend qui opposa deux femmes ayant chacune mis au monde un enfant, mais dont l'un était mort étouffé. Elles se disputèrent alors l'enfant survivant. Pour régler le désaccord, Salomon réclama une épée et ordonna : « Partagez l'enfant vivant en deux et donnez une moitié à la première et l'autre moitié à la seconde ». L'une des femmes déclara qu'elle préférait renoncer à l'enfant plutôt que de le voir sacrifié. En elle, Salomon reconnut la vraie mère, et il lui fit remettre le nourrisson. Alors « tout Israël apprit le jugement qu'avait rendu le roi, et ils vénérèrent le roi car ils virent qu'il y avait en lui une sagesse divine pour rendre la justice ». Ce célèbre épisode de la vie du Roi Salomon a donné lieu à l'expression « jugement de Salomon ». Il peut signifier soit que face à l'impossibilité d'établir la vérité dans un litige, on partage les torts entre deux parties, soit on met ces mêmes parties devant une situation qui oblige l'une d'elles au moins à changer sa stratégie. Ce cas fait partie de ceux étudiés en théorie des jeux à somme non-nulle au même titre que la Crise des missiles de Cuba, avec laquelle elle a des affinités (mettre l'une des parties dans une position intenable, et forcer l'issue en faveur du gagnant-perdant et non du perdant-gagnant).

Un règne de paix et de prospérité

À son avènement, Salomon doit faire face à de nombreuses (1445) rivalités et révoltes au sein de son royaume. Il élimine les partisans de son demi-frère Adonias. Le prêtre Abyatar (Abiathar) est exilé et Joab est exécuté.

Le pharaon Siamon profite de la mort de David pour organiser une expédition en Palestine. Il prend et détruit Gezer. Mais devant l’armée de Salomon, il préfère une paix de compromis. Il donne sa fille en mariage à Salomon avec pour dot Gezer. Salomon s’engage probablement à ne pas attaquer la pentapole philistine. Avec ce mariage Salomon signe un traité avec Siamon où il est autorisé à fixer, de manière permanente, les frontières méridionales de son royaume en occupant Gezer, qui dorénavant, restera une région d'Israël.

Salomon organise une expédition militaire à Hamath et Zoba pour contrôler Tadmor (Palmyre) et la route des caravanes.

Son règne marque cependant une période de paix, de prospérité et d'abondance. Le roi-bâtisseur fait ériger dans sa capitale des édifices colossaux (le Temple, le palais royal et les fortifications de Jérusalem). Il bâtit le premier Temple de Jérusalem. C'est dans sa quatrième année de règne que Salomon se mit à bâtir le temple, qui fut achevé en sept ans et demi. C'est le temple et non plus le tabernacle, qui fut alors le centre du culte public.

L'organisation du royaume de Salomon

Salomon organise l’administration de son Empire, tâche qui lui vaut la réputation de « sage » (hâkâm) :

  • Comme David, il s’entoure de hauts fonctionnaires et de conseillers (prêtre, secrétaire, héraut, chef de l’armée) mais crée de nouvelles fonctions (maître du palais, chef des préfets et chef de la corvée). La famille du prophète Nathan est très influente dans ce cabinet. Salomon crée un corps de fonctionnaires (lévites), dévoués au service de l’État. Il institue des écoles pour les former.
  • Le territoire israélite est divisé en douze préfectures dirigés par un préfet (nesîb), nommé par Salomon.
  • Chaque préfecture devait assurer l’entretien de la cour royale pendant un mois, charge assez lourde à cause du développement du harem royal, du nombre des hauts fonctionnaires et de la charerie royale. D’autres entrées proviennent du domaine royal, géré par le maître du Palais, de cadeaux et tributs versés par les vassaux. De plus, le roi contrôle le commerce international : caravanes du désert (encens, aromates), commerce de haute mer dans des expéditions conjointes avec les Phéniciens (produits et animaux tropicaux, or), commerce avec la Phénicie (blé, huile, cèdre, cyprès, aide technique).
  • Salomon nomme à la tête de l’armée l’ancien chef de la garde personnelle de David. L’effort de modernisation porte sur les chars, peu utilisés dans le passé et la construction de places fortes.
Le déclin

Selon la Bible (1R XI,3), Salomon a pris 700 épouses et 300 concubines. Il laissa se développer des religions païennes dans son entourage « et il arriva, au temps de la vieillesse de Salomon, que ses femmes détournèrent son cœur auprès d'autres dieux » (1R XI,4 et 5). L'infidélité de Salomon à garder l'alliance avec Dieu entraîna la colère divine : « Parce que tu as fait cela3, (…) Je t'arracherai le royaume (…) Seulement, Je ne le ferai pas dans tes jours, à cause de David, ton père. Mais Je l'arracherai de la main de ton fils. » (1R XI,9 à 13)

À la fin du règne, la levée de lourds impôts et l'institution de la corvée provoquent des révoltes qui aboutiront à la partition du royaume d'Israël après la mort de Salomon (-931).

Livres de Salomon

Les livres bibliques suivants sont attribués à Salomon :

Livre des Proverbes
Cantique des cantiques
Ecclésiaste (Kohelet)
  • traditionnellement
Certaines traditions attribuent le Livre de l'Ecclésiastique à Salomon

Les livres apocryphes suivants sont attribués à Salomon :

  • explicitement
Odes de Salomon
Psaumes de Salomon

Salomon dans l'Islam

Article détaillé : Sulayman (islam).

Salomon fait partie des prophètes de l'islam. Dans le Coran, c'est la 27e sourate qui parle le plus de Salomon (Sulayman), prophète et roi, tout comme son père David (Daoud). Il y est question de sa relation avec la reine de Saba. Plusieurs sourates font allusion aux épreuves et aux pouvoirs que lui aurait accordé Dieu, pouvoirs qui prennent dans les légendes populaires la forme magique du Sceau de Salomon.

Selon le Coran, Salomon (Soulayman) n'a jamais été mécréant et n’entraîna pas la colère d'Allah :

« Et [les gens] suivirent ce que les diables racontent contre le règne de Solayman. Alors que Solayman n’a jamais été mécréant mais bien les diables. »

 

La Clef de Salomon



La Clef de Salomon ou Clavis Salomonis est un grimoire anonyme du Moyen Âge. Il traite de l'invocation des démons.

L'ouvrage a probablement inspiré des ouvrages occultes postérieurs comme la Petite clef de Salomon. Des similarités existent en effet entre les deux textes au sujet des invocations, des rituels de purifications et – dans une moindre mesure – des symboles magiques. Il y a toutefois de nombreuses différences entre les deux ouvrages.

Plusieurs versions de la Clef de Salomon existent, dans des traductions diverses, avec des différences mineures ou significatives. La plupart des manuscrits datent du XVIe siècle ou XVIIe siècle, mais il existe une version en grec datant du XVe siècle.

Historique:
D'après le style d'écriture, l'ouvrage date du Moyen Âge et « il n'y a pas d'éléments permettant d'attribuer la Clef de Salomon, dans sa forme présente, à une époque antérieure au XIVe ou XVe siècle ». Beaucoup d'ouvrages attribués à Salomon furent écrits durant cette période, consécutive aux Croisades et au contact avec des kabbalistes juifs et des alchimistes arabes qui influencèrent les magiciens et démonologues européens.

Le texte ne mentionne aucun des 72 démons emprisonnés par le roi Salomon dans une urne de laiton, tels qu'ils sont repris dans la Petite clef de Salomon et partiellement dans la Pseudomonarchia Daemonum. À la différence de ces ouvrages, la Clef de Salomon ne décrit pas l'apparence ni l'œuvre de démons, mais les figures à dessiner pour la préparation de chaque rituel. Le livre contient également des termes inspirés par le Talmud et la Kabbale.

Selon l'histoire légendaire du document, présente dans son introduction, Salomon écrivit le livre pour son fils Roboam et lui commanda de le cacher dans sa tombe après sa mort. Après de nombreuses années, le livre aurait été découvert par un groupe de philosophes babyloniens réparant le tombeau de Salomon. Aucun d'entre eux n'était en mesure de comprendre le texte jusqu'à ce que l'un d'eux, Iohé Grevis, suggère de faire appel à Dieu. Un ange lui apparut alors et exigea de lui la promesse de tenir le document secret, afin qu'il ne profite pas aux indignes et aux pécheurs. Iohé Grevis put alors lire le texte et plaça une protection magique sur l'ouvrage, faisant en sorte que les sortilèges décrits ne puissent apporter aucun effet bénéfique aux personnes indignes, à celles qui ne seraient pas sages et à celles qui ne craindraient pas Dieu.

Contenu:
La Clef de Salomon est divisée en deux livres. Le premier livre contient les rituels, invocations et malédictions permettant d'appeler et de contraindre les esprits des morts et les démons, afin de les amener à accomplir le désir de l'invocateur. Le texte décrit également le moyen de retrouver des objets volés, la méthode pour devenir invisible, celle pour obtenir la faveur ou l'amour, etc. Le second livre décrit des rituels de purification que l'invocateur (appelé « exorciste ») se doit d'accomplir, ainsi que les vêtements qu'il doit porter, la fabrication des éléments magiques nécessaires aux rituels et les sacrifices animaux qui doivent être faits aux esprits.

Comme dans la plupart des grimoires médiévaux, toutes les opérations magiques doivent être faites à travers le pouvoir de Dieu, à qui toutes les invocations sont adressées. Avant le moindre rituel, l'invocateur doit confesser ses péchés et se purger de tout mal, demandant la protection de Dieu. De nombreux noms étranges sont employés au cours des rituels : ils dérivent d'anciens textes magiques arabes ou des noms hébreux de Dieu. Les rituels sont précis, décrivant les préparatifs en détail, la manière de construire les ustensiles nécessaires, les périodes astrologiques adéquates, les symboles magiques et les mots spécifiques.

L'ouvrage détaille tous les matériaux nécessaires à la fabrication d'amulettes et au tracé de dessins magiques, ainsi que les moyens de les purifier et de les préparer. De nombreux symboles incorporent des signes de l'alphabet ésotérique Transitus Fluvii. Le document contient également des instructions pour pratiquer la nécromancie, devenir invisible, faire du mal à autrui et ainsi de suite, avec les périodes zodiacales appropriées pour chacun de ces rituels.

Les « Clavicules de Salomon » sont attribuées selon les auteurs à Agrippa, Salomon ou Albert. Le terme de clavicula signifie « petite clé » et est utilisé alors comme passeport obligatoire pour accéder à la science secrète, à la connaissance et aux richesses. La Grande Clavicule de Salomon était le grimoire que tous les sorciers et magiciens se devaient d’avoir et fit sa première apparition vers les XIe-XIIe siècles. On le disait écrit par Salomon lui-même et était censé contenir tous les secrets des égyptiens.

Au XIVe siècle, à Prague centre de la magie, on prétendit que ce grimoire était en fait l’oeuvre du pape Honorius III, qui le rédigeat en 1216.

Le plus authentique des exemplaires connus se trouve à la bibliothèque de l’Arsenal, c’est celui du cardinal de Rohan.

 

apercu de quelques pages et lien pur trouvrle reste....

 

Les clavicule de salomon-060

Les clavicule de salomon-061

Les clavicule de salomon-062

Les clavicule de salomon-063

Les clavicule de salomon-064

Les clavicule de salomon-065

Les clavicule de salomon-066

Les clavicule de salomon-067

Les clavicule de salomon-068

Les clavicule de salomon-069

Les clavicule de salomon-070

Les clavicule de salomon-071

Les clavicule de salomon-072

Les clavicule de salomon-073

Les clavicule de salomon-074

Les clavicule de salomon-075

Les clavicule de salomon-076

Les clavicule de salomon-077

Les clavicule de salomon-078

Les clavicule de salomon-079

pour la suie et d'autes renseignements ocultes.....

http://www.esoblogs.net/604/les-clavicules-de-salomon/

 

 

 

 

 

 

Publicité
Publicité
Commentaires
sammael world
Publicité
Archives
Publicité